Mes deux semaines de vacances au Portugal (du 27 novembre au 11 décembre) commencent par l’Algarve où vit ma mamie. J’ai déjà visité cette région en 2014. J’avais moins accroché qu’avec le reste du Portugal du fait de son côté un peu moins typique. Je vais publier trois autres articles sur mon séjour en Algarve car j’ai vu bien trop de jolis endroits pour ne faire qu’un ou deux articles.
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J’arrive à Portimão après une journée épuisante. Partie à 7 heures du matin de chez moi, je suis allée de mon village breton à Rennes puis Orly, puis Lisbonne pour enfin arriver à Portimão à 23 heures (minuit heure française).
La première chose que je remarque ce sont les maisons blanches. Il y a une semaine encore, j’étais au Canada. Le changement est radical. A Portimão, il fait 20°C l’après-midi, le soleil et les palmiers sont au rendez-vous. C’est un peu le paradis. Pourtant, comme je l’ai noté plus haut, je n’avais pas spécialement accroché avec l’Algarve la première fois (à l’exception de Praia da Luz et Sitges/le Cap Saint Vincent).
Je découvre la vie quotidienne dans le sud du Portugal. Ce centre-ville où on a tout à porter de main et le minibus si besoin pour aller d’un point à un autre. Ses restaurants à bas prix un peu partout. Il y a des formules à huit euros comprenant : pains, olives, soupe, plat chaud, dessert et café. Que la nourriture est bonne ici au Portugal. Quel bonheur de me retrouver à la plage en débardeur fin novembre.
Portimão est une ville de 60 000 habitants. Il y a une très belle balade à faire dans les rues piétonnes du centre-ville puis en longeant la rivière jusqu’à la Praia Da Rocha. On y croise bien moins de touristes que dans les villes aux alentours. Je trouve que Portimão est une ville qui reste assez authentique où les Portugais vivent tout au long de l’année.
J’avais oublié ce que c’était de voyager dans un pays dont je ne connais pas la langue. J’ai le réflexe de répondre en anglais aux personnes me parlant portugais. Ou, parfois, je leur réponds en espagnol. Ma mamie m’aide mais après va falloir que je me débrouille seule.