Deux jours seulement après avoir réservé mes vacances, je m’envole direction Santorin/Santorini !

Je récupère ma valise rapidement, je sors de l’aéroport et vais à la file des taxis. J’avais envoyé un mail à l’hôtel afin de savoir quelle était la meilleure option pour rejoindre le logement (sachant qu’il est plus de 23h). Ils m’ont conseillée de prendre un taxi, le tarif est de 40€ maximum. Il faut penser à confirmer le tarif avec le chauffeur avant de monter dans le taxi.
Bretagne-Santorin
Je prends le train de 8h30 pour rejoindre Rennes. J’arrive à Orly à 12h50, mon avion décole à 19h05. Je suis donc très en avance et l’attente est un peu longue. J’ai hâte d’arriver. Je profite de la wifi de l’aéroport pour me renseigner sur les transports sur l’île de Santorini. Je n’ai en effet pas eu le temps de faire certaines recherches donc je préparerai plus en détails mes visites au fur et à mesure.
A l’aéroport, ils me demandent mon test PCR – je réponds que je suis vaccinée et montre le certificat. Il me semble qu’ils ont aussi vérifié que j’avais bien rempli le PLF (document obligatoire pour rentrer en Grèce).
Ca y est, on embarque. L’avion n’est pas plein et j’ai toute la rangée (trois places) pour moi. Le pilote annonce les lieux que l’on va survoler (notamment la Suisse, l’Italie et les Balkans). Je regarde à travers l’hublot les paysages défiler. Je ressens des émotions fortes. Je me sens heureuse et apaisée. La durée du vol est de 3h25.
Ca y est, on embarque. L’avion n’est pas plein et j’ai toute la rangée (trois places) pour moi. Le pilote annonce les lieux que l’on va survoler (notamment la Suisse, l’Italie et les Balkans). Je regarde à travers l’hublot les paysages défiler. Je ressens des émotions fortes. Je me sens heureuse et apaisée. La durée du vol est de 3h25.
On atterrit un peu avant 23h30. Il y a une heure de décalage horaire : à 23h en Grèce, il est 22h en France. On fait la queue pour montrer le PLF et certains passagers doivent prendre la file de gauche afin de faire un test Covid (ils font ces tests de manière aléatoire).
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Je récupère ma valise rapidement, je sors de l’aéroport et vais à la file des taxis. J’avais envoyé un mail à l’hôtel afin de savoir quelle était la meilleure option pour rejoindre le logement (sachant qu’il est plus de 23h). Ils m’ont conseillée de prendre un taxi, le tarif est de 40€ maximum. Il faut penser à confirmer le tarif avec le chauffeur avant de monter dans le taxi.
Le monsieur du taxi est sympa et me dit que ça sera 35€. Le taxi me dépose devant une grande maison à Perissa. Je ne vois pas de panneau, d’indication que c’est le bon logement (en fait, c’est plus une maison d’hôtes). J’ai l’impression d’entrer chez des gens ou dans un bar mais le taxi me dit que c’est bien là.
J’entre, j’explique au jeune qui est là que je recherche la « Princess Santorini Villa » et il me répond que c’est là. Ah ?! Le jeune est sympa, il me montre rapidement la chambre et me dit que sa mère me donnera plus d’infos demain.
La chambre et la salle de bain sont sans plus : ce n’est pas très beau, il n’y a pas de petites attentions et le code wifi n’est même pas indiqué. Je ne m’attendais pas à mieux (pour rappel, il ne restait quasiment plus aucun logement) et ça me suffit. J’ai hâte de me réveiller demain et découvrir Santorin.
Pour l’anecdote, je trouve l’eau bizarre quand je me lave les dents. Prise d’un doute, je regarde sur google qui me confirme que l’eau n’est pas potable sur l’île. Je vais donc devoir changer mes habitudes car je ne bois habituellement que de l’eau du robinet.
La chambre et la salle de bain sont sans plus : ce n’est pas très beau, il n’y a pas de petites attentions et le code wifi n’est même pas indiqué. Je ne m’attendais pas à mieux (pour rappel, il ne restait quasiment plus aucun logement) et ça me suffit. J’ai hâte de me réveiller demain et découvrir Santorin.
Pour l’anecdote, je trouve l’eau bizarre quand je me lave les dents. Prise d’un doute, je regarde sur google qui me confirme que l’eau n’est pas potable sur l’île. Je vais donc devoir changer mes habitudes car je ne bois habituellement que de l’eau du robinet.
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Jour n°1 en Grèce
Je commence la journée par aller voir la propriétaire à « l’accueil » situé sur la terrasse. La dame est adorable. Je dois remplir un document et elle me donne des infos sur l’île. Je lui demande les règles par rapport au masque. C’est apparemment comme en France – obligatoire en intérieur seulement.
La plage est à 2mn à pieds, je vais voir à quoi ça ressemble puis je pars à la recherche d’un supermarché. Je ne le trouve pas donc je finis dans une mini supérette pour au moins avoir de l’eau et de quoi petit-déjeuner.
La plage est à 2mn à pieds, je vais voir à quoi ça ressemble puis je pars à la recherche d’un supermarché. Je ne le trouve pas donc je finis dans une mini supérette pour au moins avoir de l’eau et de quoi petit-déjeuner.
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Je vais ensuite au bus stop qui est juste à côté du logement pour prendre le bus pour Fira. Le bus local c’est quelque-chose ! C’est un bus classique, de loin on ne peut pas deviner que c’est le bus de la ville. Il faut monter par derrière, il y a un jeune qui vend les tickets dans le bus (point positif, il rend la monnaie). Il crie le nom de l’arrêt avant chaque stop important (ça, c’est bien pratique).
Je découvre l’île du bus. L’île est sublime. Il n’y a que des petites maisons blanches. Je suis sous le charme, c’est splendide. Je crois que je suis tombée amoureuse de Santorini pendant ce trajet en bus. Le coup de cœur a été instantané. J’ai eu l’impression de ne jamais avoir rien vu d’aussi beau. L’île a une forme de croissant et la mer est omniprésente. Ce qui m’a aussi frappée ce sont les falaises, les montagnes et la présence d’autres petites îles autour.
Je vais ensuite au bus stop qui est juste à côté du logement pour prendre le bus pour Fira. Le bus local c’est quelque-chose ! C’est un bus classique, de loin on ne peut pas deviner que c’est le bus de la ville. Il faut monter par derrière, il y a un jeune qui vend les tickets dans le bus (point positif, il rend la monnaie). Il crie le nom de l’arrêt avant chaque stop important (ça, c’est bien pratique).
Je découvre l’île du bus. L’île est sublime. Il n’y a que des petites maisons blanches. Je suis sous le charme, c’est splendide. Je crois que je suis tombée amoureuse de Santorini pendant ce trajet en bus. Le coup de cœur a été instantané. J’ai eu l’impression de ne jamais avoir rien vu d’aussi beau. L’île a une forme de croissant et la mer est omniprésente. Ce qui m’a aussi frappée ce sont les falaises, les montagnes et la présence d’autres petites îles autour.
Le temps est magnifique. Je ne me souviens plus des températures exactes mais il a fait entre 31 et 34°C (à l’ombre) pendant mon séjour à Santorini. La nuit, il faisait 24°C donc il ne faisait jamais froid (pas besoin de pull).
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J’arrive à Fira, la capitale de l’île, et me balade jusqu’à Imerovigli. Une balade à faire absolument ! L’ambiance est agréable, je m’y sens bien, ça semble super safe. Les locaux sont aimables, accueillants. Il y a pas mal de touristes, surtout des personnes de mon âge et des jeunes couples. Ce n’est pas bondé non plus. J’entends énormément parler français. Il y a aussi pas mal d’espagnols et d’américains.
J’arrive à Fira, la capitale de l’île, et me balade jusqu’à Imerovigli. Une balade à faire absolument ! L’ambiance est agréable, je m’y sens bien, ça semble super safe. Les locaux sont aimables, accueillants. Il y a pas mal de touristes, surtout des personnes de mon âge et des jeunes couples. Ce n’est pas bondé non plus. J’entends énormément parler français. Il y a aussi pas mal d’espagnols et d’américains.
C’est encore plus beau en vrai qu’en photo. J’en prends plein les yeux. Je suis une photographe dans l’âme et j’ai envie de tout prendre en photos. Je suis ravie.
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Puis, je reviens à pieds à Fira car je n’avais pas visité une partie de la ville. Je refais encore le trajet en sens inverse pour voir le coucher du soleil vers Imerovigli (pour qu’il y ait moins de monde). L’île n’est pas du tout plate donc j’ai un peu souffert aux heures les plus chaudes. Mais, c’était largement supportable, rien à voir avec le Japon.
Je trouve un super endroit pour observer le coucher du soleil. Il n’y a quasiment personne. Le soleil se couche un peu avant 20h30. J’étais persuadée que le soleil se coucherait sur l’eau mais, à la toute fin, il est caché par une île tellement lointaine qu’on ne la voit pas. La journée se finit en beauté. Je rentre à 22h20 à l’hôtel.
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Cette première journée a été géniale. Je suis sous le charme de cette île et je suis très contente d’avoir choisi la Grèce. Je ne sais pas à quoi ressemblera le reste de mes vacances mais j’estime que, grâce à cette journée, ce voyage valait le coup. Par contre, je crains que les autres îles et villes me paraissent moins jolies après avoir découvert la beauté de Santorini.
🇬🇷
« It is better to see something once, than to hear about it a thousand times. » – Asian Proverb
Pour l’eau on en a bu pas mal de fois au robinet même si on sait que c’est déconseillé et on a jamais été malades….
Je nous retrouve beaucoup quand tu décris ton coup de coeur presque instantané, et on a eu cette sensation sur toutes les îles que l’on a faites, on s’y sent bien, de suite.
Tu as bien supporté la chaleur, je me suis posée la question parce que nous ça a été difficile pourtant on aime ça … après on avait un peu plus chaud c’était souvent 33-35° la journée et la nuit ça ne descendait pas en dessous de 28°
La balade jusqu’à Imerovigli se poursuit jusqu’à Oia et est à couper le souffle tout du long, mais en plein été ça doit être difficile avec la chaleur.
Tu avais donc des températures encore plus chaudes en juin.
Je voulais marcher jusqu’à Oia mais j’avais peur de ne pas supporter la chaleur. Aux heures les plus chaudes, il fallait que je me pose souvent à l’ombre et que je marche doucement. Je ferai cette balade la prochaine fois ;).
C’est bon à savoir pour l’eau du robinet ! Celle de mon logement était vraiment dégoûtante donc peut-être que selon où l’on est sur l’île c’est plus ou moins buvable.