2 mois au Canada – bilan

Travail

Il y a un mois je commençais mon travail à Toys R Us. Depuis la semaine dernière je suis enfin en mi-temps et la semaine prochaine je travaille même 33 heures. L’équipe est sympa et c’est loin d’être désagréable d’être caissière là-bas. Par contre, c’est fatiguant d’être debout toute la journée. Je donne aussi des cours de français deux heures/semaine à Olivia (10 ans). 

Logement

Je suis maintenant dans une colocation. J’ai publié un article récemment à ce propos ici. Depuis mon installation mon voisin de chambre invite quasi tous les soirs sa copine et utiliser la machine à laver est devenu payant. Je songe donc à déménager. On en a parlé avec ma colocataire brésilienne de louer un truc ensemble. A suivre.

Vie sociale

J’ai pour l’instant rencontré peu de gens. D’ailleurs c’est souvent ce que les gens ici me demandent « Tu as de la famille ici ? Tu es venue avec quelqu’un ? ». Quand je réponds que non, ils sont impressionnés. 

Anglais

Grâce au travail et à la colocation je parle maintenant beaucoup anglais. J’ai malheureusement toujours mon fort accent français. J’aimerais bien qu’il s’estompe un peu au fil des mois.

Moral

Une petite baisse de moral à mon déménagement et d’autres fois lorsque je suis fatiguée, qu’il fait moche ou autre. Mais ça va très bien de manière générale.

Quotidien à Toronto

Niveau temps, on est passé de l’été à la pluie puis à l’hiver – pas cool. Je me plais à Toronto mais je n’ai pas de coup de cœur pour cette ville.

Voyages/sorties

J’ai passé une journée seule à Buffalo aux Etats-Unis. Ce n’est pas une ville touristique à la base mais j’ai beaucoup aimé m’y balader et retrouver des choses américaines que je n’avais pas revu depuis cinq ans. J’espère pouvoir continuer à visiter au moins une ville chaque mois. Le seul soucis c’est que je n’ai quasi personne avec qui voyager …

J’ai aussi été invitée au repas de Thanksgiving de la famille d’Olivia à qui je donne des cours de français. C’était adorable de la part de la maman de m’inviter alors que je n’avais donné qu’un cours à Olivia.

Conclusion

Le mois est passé très vite, j’étais encore dans une période d’installation. Comme pour le mois de septembre j’ai fait très attention à mes dépenses car je travaillais peu.

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« Destiny is no matter of chance. It is a matter of choice » – William Jennings Bryan.
[Le destin n’est pas une question de chance, c’est une question de choix.]

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5 Replies to “2 mois au Canada – bilan”

  1. Coucou j’ai enfin rattrapé mon retard sur ton blog. Alors déjà c’est top que tu fasses plus d’heures au travail ! En plus si tu t’y plais bien c’eSt parfait.
    Pour le logement je trouve ça surprenant qu’il faille payer pour faire ses machines… C’est vrai que ça ne fait pas vraiment colocation du coup ! Bon je te souhaite de trouver autre chose parce que se sentir bien où on vit est quand même essentiel.
    Bon courage pour l’hiver ! Tu vas avoir froid mais ça devrait être joli à voir. (Moins quand tout va fondre je pense ahha)

    1. J’adore la neige donc si il neige autant qu’à Chicago l’hiver sera sympa.
      Je travaille maintenant en plein-temps entre Toys R Us et le tutorat donc je vais enfin pouvoir mettre des sous de côté pour voyager.
      Je passe de temps en temps sur ton blog mais toujours pas de nouvel article … ; )

      1. Oui c’est sûr que côté neige normalement tu seras servie !
        C’est génial j’ai déjà hâte de voir tes prochains voyages ahah
        Non mais ça va revenir bientôt ! Au mois de décembre je pense m’y remettre.

  2. Je suis aussi impressionnée par ta capacité à venir, dans le cadre d’un PVT seule, au Canada. J’ai galéré au début, pour rencontrer des gens (et c’est toujours un peu le cas), donc je ne peux que reconnaître que tu es courageuse (et je suis étudiante, donc c’est plus « facile »). Moi qui a toujours été intéressée par le PVT, je me dis que si un jour, je tente l’expérience, j’essaierais d’être accompagnée.
    Ma coloc, qui n’a fait que passer à Toronto m’a également dit qu’elle n’avait pas vraiment eu de coup de coeur pour la ville. Du coup, tu penses y rester pendant tout ton PVT ? Parce que sinon, Montréal n’est pas si loin 😉

    1. Pour être partie en Erasmus en Pologne c’est vrai que partir en tant qu’étudiant n’a rien à voir. Ce que je réponds aux gens surpris que je sois partie seule c’est « si je devais partir avec quelqu’un j’aurais peut-être attendu toute ma vie de trouver quelqu’un pour partir ».
      J’aime bien Toronto mais je trouve qu’il manque quelque-chose à cette ville, un truc qui la rendrait particulière. Aller à Montreal pour y vivre me bloque complètement à cause du côté francophone. Je vais rester un an à Toronto mais pas plus je pense. Qui sait, peut-être qu’au fil des mois je vais changer d’opinion sur cette ville.

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